Rénovation énergétique en 2025
Face aux enjeux climatiques et à la montée des préoccupations environnementales, la rénovation énergétique des logements devient un axe prioritaire du gouvernement en 2025. Dans cette dynamique, les dispositifs d’aide à la rénovation — notamment les certificats d’économie d’énergie (CEE) — ont été renforcés afin d’encourager les propriétaires à améliorer la performance énergétique de leurs biens. Pour les vendeurs, bailleurs et acquéreurs, ces évolutions transforment profondément le marché immobilier. Le réseau Pietrapolis, fort de ses nombreuses agences implantées en région Auvergne-Rhône-Alpes et ailleurs, vous accompagne pour tirer parti de ces nouvelles opportunités.
Pourquoi la rénovation énergétique devient incontournable en 2025 ?
Depuis plusieurs années, les politiques publiques poussent les ménages à entreprendre des travaux d’isolation, de chauffage et de ventilation. La loi Climat et Résilience a fixé un cap clair : sortir progressivement du marché les logements les plus énergivores, surnommés "passoires thermiques" (classés F et G sur le DPE).
En 2025, les contraintes deviennent plus fortes. Certaines interdictions à la location sont déjà entrées en vigueur pour les logements les moins bien notés, et elles seront élargies dans les années à venir. D’autre part, le diagnostic de performance énergétique (DPE) joue désormais un rôle central dans la valorisation d’un bien immobilier. Un logement classé A ou B pourra se vendre plus cher, tandis qu’un logement mal noté pourra voir sa valeur chuter significativement.
Ainsi, pour préserver la valeur de leur patrimoine, les propriétaires n’ont d’autre choix que d’envisager des travaux de rénovation énergétique. C’est aussi un enjeu pour séduire des acquéreurs de plus en plus sensibles à la qualité thermique et écologique des logements.

Les nouvelles aides à la rénovation énergétique en 2025
Le gouvernement a annoncé à la mi-juin 2025 un renforcement du dispositif des certificats d’économie d’énergie (CEE). L’objectif : mobiliser davantage les acteurs privés dans le financement des travaux, tout en simplifiant l’accès aux aides pour les particuliers. Les CEE permettent, par exemple, de réduire le coût des travaux d’isolation, de remplacement de chaudière ou d’installation de pompe à chaleur.
Parallèlement, le dispositif MaPrimeRénov’ a été adapté pour devenir plus lisible et plus incitatif. Les barèmes ont été revus, notamment pour favoriser les rénovations dites "globales".
Les aides de l’ANAH (Agence nationale de l’habitat) et les subventions locales proposées par les collectivités territoriales viennent compléter ce bouquet d’aides. Il devient ainsi possible, pour un ménage bien informé, de financer jusqu’à 80 % du montant total des travaux.
Quel impact pour les propriétaires vendeurs ou bailleurs ?
L’impact des rénovations énergétiques sur la vente d’un bien est de plus en plus visible. Un logement rénové peut se vendre plus rapidement et à un meilleur prix. En revanche, un logement mal classé (E, F ou G) peut souffrir d’une décote allant jusqu’à 15 à 20 % sur certains marchés.
Les bailleurs sont également concernés : depuis le 1er janvier 2023, les logements classés G+ (consommation énergétique supérieure à 450 kWh/m²/an) ne peuvent plus être loués. En 2025, les logements classés G sont désormais dans le collimateur. Cette tendance se poursuivra en 2028 avec l’interdiction des logements classés F.
Pour ces raisons, de nombreux propriétaires choisissent désormais de rénover avant de vendre. Ce choix stratégique leur permet de maximiser la valeur de revente tout en facilitant la mise en marché du bien, car les acheteurs sont rassurés par la bonne performance énergétique du logement.
Quel impact pour les propriétaires vendeurs ou bailleurs ?
L’impact des rénovations énergétiques sur la vente d’un bien est de plus en plus visible. Un logement rénové peut se vendre plus rapidement et à un meilleur prix. En revanche, un logement mal classé (E, F ou G) peut souffrir d’une décote allant jusqu’à 15 à 20 % sur certains marchés.
Les bailleurs sont également concernés : depuis le 1er janvier 2023, les logements classés G+ (consommation énergétique supérieure à 450 kWh/m²/an) ne peuvent plus être loués. En 2025, les logements classés G sont désormais dans le collimateur. Cette tendance se poursuivra en 2028 avec l’interdiction des logements classés F.
Pour ces raisons, de nombreux propriétaires choisissent désormais de rénover avant de vendre. Ce choix stratégique leur permet de maximiser la valeur de revente tout en facilitant la mise en marché du bien, car les acheteurs sont rassurés par la bonne performance énergétique du logement.


Pietrapolis : un accompagnement sur mesure pour vos projets immobiliers
Avec ses nombreuses agences réparties sur des villes comme Caluire-et-Cuire, Chalon-sur-Saône, Dijon, Lyon 3 et Lyon 7, Vienne, Villefranche-sur-Saône ou encore Sète, Pietrapolis s’inscrit comme un acteur local de référence en matière d’immobilier. Ses conseillers connaissent parfaitement les enjeux énergétiques propres à chaque territoire et accompagnent les propriétaires dans leurs projets de valorisation.
Au-delà de la simple transaction immobilière, Pietrapolis propose un véritable service de conseil stratégique : estimation du bien en fonction de son DPE, orientation vers les travaux les plus rentables, mise en relation avec des artisans qualifiés, suivi de la performance du bien.
Dans certaines agences du réseau, des partenariats avec des acteurs de la rénovation énergétique ont été mis en place pour offrir un parcours fluide et sécurisé. Cela permet aux clients de combiner efficacité énergétique et stratégie patrimoniale.
Faire appel à Pietrapolis, c’est donc choisir une expertise locale solide, appuyée par une vision à long terme du marché immobilier et de ses évolutions environnementales.